Texte cité par Sam Gamegie dans le troisième épisode de la trilogie du seigneur des anneaux.
C’est injuste.
D’ailleurs on ne devrait même pas être là.
Mais on y est.
C’est comme dans les grandes histoires.
Celle qui importaient vraiment.
Celle ou ils y avaient danger et ténèbres.
Parfois on ne voulait pas connaître la fin.
Car elle ne pouvait pas être heureuse.
Comment la vie pourrait-elle redevenir comme elle était avec tout le mal qui s’y était passé?
Mais enfin de compte, elle ne fait que passer, cette ombre.
Même les ténèbres doivent passer.
Un jour nouveau viendra.
Et lorsque le soleil brillera, il n’en sera que plus éclatant.
C’étaient ces histoires dont on se souvenaient et qui signifiaient tellement.
Même lorsqu’on étaient trop petit pour comprendre.
Mais je crois, que je comprend, je sais maintenant.
Les personnages de ces histoires avaient trente-six occasions de se retourner mais ils ne le faisaient pas.
ils continuaient leurs routes, car ils avaient foi en quelque chose.
En quoi avaient-ils foi?
Il y a du bon en se monde, il faut se battre pour ça.
Il y a une graine de la vie dans le cœur, il faut se battre pour ne pas perdre cette source de bonheur.
Pour ne pas se perdre sois.
Code Jedi (Lucas George)
Il n’y a pas d’émotion, il y a la paix :
Cela ne veut pas dire que les Jedi ne doivent pas ressentir d’émotions. Cela signifie qu’ils doivent contrôler leurs émotions afin de ne pas se laisser guider par elles. Un Jedi doit avant tout faire passer la raison avant ses sentiments, ses actes ne doivent pas être guidés par la colère, l’amour ou la frustration, mais toujours être réfléchis.
Il n’y a pas d’ignorance, il y a la connaissance :
La chance n’existe pas, la façon dont les choses se déroulent dépende de la façon dont on y est préparé, et qui mieux que les Jedi sont préparés !? L’ordre Jedi prône la connaissance afin que les élèves se préparent à subir toutes sortes d’épreuves. La connaissance est une chose qui peut transformer la défaite en victoire.
Il n’y a pas de passion, il y a la sérénité :
Un Jedi doit toujours tenter de trouver des solutions pacifiques. Aucune vie ne doit être sacrifiée sauf si c’est inévitable. La connaissance et la patience sont souvent les meilleurs moyens d’éviter un combat, la maîtrise de la Force en est un autre.
Il n’y a pas de chaos, il y a l’harmonie :
Quoi qu’un Jedi fasse cela doit résulter d’une longue préparation mentale afin de bien se projeter dans l’action dans le but d’être le plus efficace possible. Quand plusieurs Jedi sont engagés dans une même mission ou dans un même combat, ils doivent toujours coopérer. Combattant pour l’autre, le Jedi essaye de trouver le moyen de protéger au mieux chacun des utilisateurs de la Force.
Il n’y a pas de mort, il y a la Force :
Rien ne meurt. Quand un Jedi est blessé ou dans un état tel que l’on peut le dire « mort », il devient une part de l’univers et continue de vivre dans cet état.
Dune – Bene-gesserit(frank Herbert)
Je ne connaîtrai pas la peur car la peur tue l’esprit. La peur est la petite morte qui conduit à l’oblitération totale. J’affronterai ma peur. Je lui permettrai de passer sur moi, au travers de moi. Et lorsqu’elle sera passée, je tournerai mon œil intérieur sur son chemin. Et là où elle sera passée, il n’y aura plus rien. Rien que moi.
R. Daneel Olivaw & autres (Asimov Isaac)
Loi Zéro : Un robot ne peut nuire à l’humanité ni, restant passif, permettre que l’humanité souffre d’un mal.
Première Loi : Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger, sauf en cas de contradiction avec la Loi Zéro.
Deuxième Loi : Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Loi Zéro ou la Première Loi.
Troisième Loi : Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’est pas en contradiction avec la Loi Zéro, la Première ou la Deuxième Loi.
« La violence est le dernier refuge de l’incompétence »
Si le savoir peut créer des problèmes, ce n’est pas l’ignorance qui les résoudra.
Souvent les gens prennent leurs propres lacunes pour celles de la société qui les entoure, et cherchent à réformer ladite société parce qu’ils sont incapables de se réformer eux-mêmes.
Un homme (Rudyard Kipling)
Si tu peux voir détruit l’ouvrage de ta vie
Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir,
Ou, perdre d’un seul coup le gain de cent parties
Sans un geste et sans un soupir ;
Si tu peux être amant sans être fou d’amour,
Si tu peux être fort sans cesser d’être tendre
Et, te sentant haï sans haïr à ton tour,
Pourtant lutter et te défendre ;
Si tu peux supporter d’entendre tes paroles
Travesties par des gueux pour exciter des sots,
Et d’entendre mentir sur toi leur bouche folle,
Sans mentir toi-même d’un seul mot ;
Si tu peux rester digne en étant populaire,
Si tu peux rester peuple en conseillant les rois
Et si tu peux aimer tous tes amis en frère
Sans qu’aucun d’eux soit tout pour toi ;
Si tu sais méditer, observer et connaître
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
Sans être moral ni pédant ;
Si tu peux rencontrer Triomphe après Défaite
Et recevoir ces deux menteurs d’un même front,
Si tu peux conserver ton courage et ta tête
Quand tous les autres les perdront,
Alors, les Rois, les Dieux, la Chance et la Victoire
Seront à tout jamais tes esclaves soumis
Et, ce qui vaut mieux que les Rois et la Gloire,
Tu seras un Homme, mon fils.
Tous ces textes sont assez bien résumé par :
La colère est l’expression de l’incompétence.
La sagesse est de rester maître de ces envies.
Il n’y a pas de manque ou d’excès, il y a l’équilibre.
Il n’y a pas d’émotion obsédante, il y a la paix.