C’était ce mardi soir où j’ai découvert avec surprise (grâce à Elodie) que Bernard Werber était à la librairie Filigranes. J’en ai donc profiter pour aller à sa rencontre et faire dédicacer son dernier roman. Il m’a demandé ce que je faisais comme travail et j’ai naturellement répondu en rajoutant que j’étais publié à compte d’éditeur. Il m’a alors posé quelques questions concernant L’ambassade du Paradis et m’a écris un mot d’encouragement avec sa dédicace.
Mes livres de Bernard (et la main d’élodie), de plus en plus nombreux:
Mes dédicaces:
Merci Bernard 😉
Avant de terminer cette article je voudrai glisser un mot sur le faite de « croire ». Bernard Werber à parler de cela en disant qu’il était difficile de communiquer et d’échanger avec les gens qui croient savoir. Il a bien raison et la phrase que l’on m’a souvent répété quand j’étais jeune est : Laisse croire les bonnes soeurs!
Croire c’est la facilité. Il y a de plus en plus de gens qui se laisse tomber dedans. Heureusement la littérature a tendance à lutter contre cela et je suis fier d’appartenir à ce petit monde!