De nos jours, à l’âge de dix-huit ans, nous sommes éligibles pour exercer notre droit de vote. En clair, à partir de 18 ans, on doit aller voter.
Mon article se concentre sur le vote en Belgique (local et fédéral). Pourtant, je pense sincèrement que certaines réflexions présentées ici s’appliquent à tous les pays francophones.
Un très petit bout d’histoire. Le droit de vote existe depuis 1830 en Belgique et 1848 en France (1921 en Belgique & 1944 en France pour les femmes).
La manière varie en fonction des sociétés, mais le principe reste le même. Des gens forment des partis, ces partis présentent des listes aux votants. Les élus obtiennent des responsabilités.
On va faire un peu de Psychanalyse (ou d’anthropologie) maintenant. Dans tous les partis (formations politiques) il y a des bonnes et des mauvaises personnes. On peut également dire qu’il y a des idéalistes et des pragmatiques. Devant le très grands nombre de décisionnaires politiques, les pragmatiques comprennent rapidement qu’il est difficile de changer les choses en mettant tout le monde d’accord. Ils deviennent donc souvent des « intéressé financier » qui oeuvrent majoritairement pour leurs propres intérêts et minoritairement en la faveur des citoyens qui les ont élus.
Si on veut améliorer et donc changer les choses, car c’est bien ce que l’on veut, non? Il faut idéalement donner plus de crédits aux idéalistes. Comment trouver ces idéalistes sur une liste électorale et comment cette fameuse liste est faite? C’est dans le paragraphe suivant!
Comment détermine t-on les différentes places sur une liste électorale?
La première étape est de trouver les candidats les plus adéquats possible. Pour ce faire, ils doivent être membre du parti politique et en ordre de cotisation. Ensuite, ils doivent être des porteurs de voie. C’est à dire, des personnes qui vont attirer des votes en leur faveur (des gens avec un nom connu, des jolies femmes (ou homme, mais cela marche moins bien 🙂 ), des personnes aux larges réseaux relationnels, etc.)
Quand on a les candidats, il ne reste plus qu’à les disposer sur la liste. La priorité va en général à ceux qui ont déjà eu une expérience d’une campagne électorale en tant que candidat.
Comment répartir les candidats sur la liste électorale du parti (voir le dessin)?
Il est évident que la première place sur la liste est la plus importante. Ensuite, c’est la dernière place de la dernière colonne. En troisième position vient les premières places des colonnes suivants la première et en dernier vient l’ensemble de la première colonne. Les candidats porteurs de voix seront disposés par cet ordre de priorité. Ensuite on va remplir ce qu’il reste par des sympathisants.
Est-ce que certaines places sur la liste rapportent plus de voix que d’autres? Naturellement. La première place est celle qui rapporte le plus et qui recevra toutes les voix de liste (les gens qui vote pour un parti sans désigner de candidat). Pour toutes les autres places, à l’exeptxion peut être de la seconde, le candidat ne devra compter que sur lui même pour faire un « score ».
Je peux résumer en disant que pour bien voter, il faut idéalement connaître un candidat personnellement. Si ce n’est pas le cas, et que vous voulez un changement positif, il faut tenter de ne pas voter pour ceux précédemment élus ou bien placés. Il faut donc éviter la tête de liste ou le dernier de liste. L’idéal est de trouver un juste milieu en favorisant un candidat de la première ou seconde colonne.
Voter tête de liste est le meilleur moyen pour enliser un parti que l’on veut soutenir.
Ne votez pas tête de liste. Notre politique est noyée par de redondants communicateurs. N’hésitez pas à encourager un jeune (jeune en politique, mais pourquoi pas moins jeune par l’âge) à développer ses talents ou à encourager un vieux en politique mais dons vous êtes certain de connaître les sincères motivations.
Voir également: Distribution des sièges pour les communales en Belgique.
De nos jours, à l’âge de dix-huit ans, nous sommes éligibles pour exercer notre droit de vote. En clair, à partir de 18 ans, on doit aller voter.
Mon article se concentre sur le vote en Belgique (local et fédéral). Pourtant, je pense sincèrement que certaines réflexions présentées ici s’appliquent à tous les pays francophones.
Un très petit bout d’histoire. Le droit de vote existe depuis 1830 en Belgique et 1848 en France (1921 en Belgique & 1944 en France pour les femmes).
La manière varie en fonction des sociétés, mais le principe reste le même. Des gens forment des partis, ces partis présentent des listes aux votants. Les élus obtiennent des responsabilités.
On va faire un peu de Psychanalyse (ou d’anthropologie) maintenant. Dans tous les partis (formations politiques) il y a des bonnes et des mauvaises personnes. On peut également dire qu’il y a des idéalistes et des pragmatiques. Devant le très grands nombre de décisionnaires politiques, les pragmatiques comprennent rapidement qu’il est difficile de changer les choses en mettant tout le monde d’accord. Ils deviennent donc souvent des « intéressé financier » qui oeuvrent majoritairement pour leurs propres intérêts et minoritairement en la faveur des citoyens qui les ont élus.
Si on veut améliorer et donc changer les choses, car c’est bien ce que l’on veut, non? Il faut idéalement donner plus de crédits aux idéalistes. Comment trouver ces idéalistes sur une liste électorale et comment cette fameuse liste est faite? C’est dans le paragraphe suivant!
Comment détermine t-on les différentes places sur une liste électorale?
La première étape est de trouver les candidats les plus adéquats possible. Pour ce faire, ils doivent être membre du parti politique et en ordre de cotisation. Ensuite, ils doivent être des porteurs de voie. C’est à dire, des personnes qui vont attirer des votes en leur faveur (des gens avec un nom connu, des jolies femmes (ou homme, mais cela marche moins bien 🙂 ), des personnes aux larges réseaux relationnels, etc.)
Quand on a les candidats, il ne reste plus qu’à les disposer sur la liste. La priorité va en général à ceux qui ont déjà eu une expérience d’une campagne électorale en tant que candidat.
Comment répartir les candidats sur la liste électorale du parti (voir le dessin)?
Il est évident que la première place sur la liste est la plus importante. Ensuite, c’est la dernière place de la dernière colonne. En troisième position vient les premières places des colonnes suivants la première et en dernier vient l’ensemble de la première colonne. Les candidats porteurs de voix seront disposés par cet ordre de priorité. Ensuite on va remplir ce qu’il reste par des sympathisants.
Est-ce que certaines places sur la liste rapportent plus de voix que d’autres? Naturellement. La première place est celle qui rapporte le plus et qui recevra toutes les voix de liste (les gens qui vote pour un parti sans désigner de candidat). Pour toutes les autres places, à l’exeptxion peut être de la seconde, le candidat ne devra compter que sur lui même pour faire un « score ».
Je peux résumer en disant que pour bien voter, il faut idéalement connaître un candidat personnellement. Si ce n’est pas le cas, et que vous voulez un changement positif, il faut tenter de ne pas voter pour ceux précédemment élus ou bien placés. Il faut donc éviter la tête de liste ou le dernier de liste. L’idéal est de trouver un juste milieu en favorisant un candidat de la première ou seconde colonne.
Voter tête de liste est le meilleur moyen pour enliser un parti que l’on veut soutenir.
Ne votez pas tête de liste. Notre politique est noyée par de redondants communicateurs. N’hésitez pas à encourager un jeune (jeune en politique, mais pourquoi pas moins jeune par l’âge) à développer ses talents ou à encourager un vieux en politique mais dons vous êtes certain de connaître les sincères motivations.
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