Ce dimanche j’ai utilisé ma moto pour faire 110 kilomètres. Pourquoi? Pour me
rendre au festival du livre d’Ouffet!
Arrivé sur place j’ai été très bien reçu par mon collègue écrivain Pierre-Armand Cajot. Là, je découvre la tour de justice et une magnifique petite boulangerie où j’achète des énormes éclairs au chocolat. Ainsi mis en forme, je salue les personnes déjà présentes et m’installe à la place qui m’était réservée.
Au fil des rencontres avec les visiteurs, je découvre des gens intéressés, agréables et curieux. Etant proche de l’entrée, je m’efforce d’être le plus accueillant possible et j’en profite pour parler de la vie d’auteur et de mes livres.
Pour ce début de journée, le succès pour L’ambassade du Paradis est déjà au rendez-vous. Mon stock de livres s’épuise petit à petit.
Comme souvent dans les foires du livre en Belgique, les rencontres entre auteurs sont passionnantes. Mais ici, à Ouffet, j’ai été positivement surpris de voir l’organisation s’impliquer à un point exemplaire pour le confort des auteurs et visiteurs. Dans quel but? La réponse est claire! Par passion, par fierté pour leur événement, par amour de son prochain. J’ai vu beaucoup de simplicité, beaucoup de bonheur et beaucoup de joie. Quel plaisir! Les échanges/rencontres, ce sont vraiment les plus grandes richesses des séances de dédicaces!
Merci à la bibliothèque d’Ouffet pour faire vivre la littérature, merci à tous les lecteurs qui m’ont fait confiance (j’ai vendu la totalité de mon stock!). Merci également à mes collègues auteurs que je rencontre pour la première fois ou que je connais déjà: Christine Schmidt, Bou Bounoider, Laetitia Reynders, Pierre Armand Cajot, Renaud De Vriendt, Henri Collignon, Sylvie Ginestet, Brigitte Guilbau, Emilie Malburny, Serge France, Michèle Hardenne, etc. Merci également à ma maison d’édition Chloé des Lys.